RCP: SUPPRESTRAL SUSPENSION

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SUPPRESTRAL SUSPENSION

Solution injectable

   

Composition :

Acétate de médroxyprogéstérone………… 5 g

Parahydroxybenzoate de méthyle …..0, 1 70 g

Parahydroxybenzoate de propyle…… 0,020 g

Excipient q.s.p…………………………100 ml

 

Espèces cibles :

Chiens, Chats.

 

Propriétés:

L'acétate de médroxyprogestérone est un stéroïde de synthèse ayant une structure chimique  et des propriétés proches de celles de la progestérone. Il est doué de propriétés anovulatoires et progestagènes.

L'effet retard du SUPPRESTRAL permet d'envisager l'inhibition de l'œstrus pendant une période prolongée, en vue d'éviter les accouplements et fécondations indésirables ou les désagréments occasionnés par les chaleurs (écoulements, comportement sexuel).

 

Indications:

Prévention et interruption des chaleurs chez les chiennes et chattes.

Sont ici employés les termes de PREVENTION lorsqu'il y a traitement inhibiteur en dehors de  la phase d'expression des chaleurs, et d'INTERRUPTION lorsqu'il y a traitement inhibiteur pendant la phase d'expression des chaleurs.

 

Administration et posologie :

Voie S.C. ou I.M.

1- Chienne:

Une injection de 0,5 à 2 ml suivant la taille.

Pour les races naines et les races géantes, il convient d'adapter la posologie en évitant le surdosage, afin de limiter les conséquences indésirables d'une imprégnation progestéronique (H.S. Bryan recommande de ne pas dépasser la dose moyenne de 50 mg par 10 kg).

2- Chatte:

Une injection de 0,5 à 1 ml selon le poids de l'animal.

Noter que les femelles de race siamoise exigent une posologie plus personnalisée, car leur  activité génitale est parfois presque continue. Lors d'intervention par voie sous-cutanée, réaliser l'injection en un point du corps non exposé au regard (intérieur du pli du flanc ou de la cuisse) en raison d'une possible réaction (dépigmentation temporaire de la peau et des phanères).

Bien agiter le flacon avant emploi afin de remettre tout le principe actif en suspension homogène.

Moment de l'intervention pour l'inhibition des chaleurs:

- La prévention des chaleurs est l'indication de choix, l'apparition du rut étant reportée de plusieurs mois. Cependant, quelques sujets peuvent présenter des chaleurs avant la date prévue de leur réapparition, et il convient que les maîtres soient avertis d'avoir à surveiller les prémices d'un œstrus éventuel pour permettre une interruption précoce des chaleurs si elle est jugée nécessaire.

- L'interruption des chaleurs déjà commencées est une indication plus nuancée : il est important de savoir avec précision depuis combien de temps la femelle est en chaleur, c'est-à-dire combien de temps s'est écoulé entre le début du pro-œstrus et le moment où l'animal est présenté pour l'intervention. Changement d'humeur, attirance des mâles, gonflement de la vulve et apparition du saignement sont les signes habituellement retenus comme situant le début du pro-œstrus  chez la chienne.

Cependant, il convient des se souvenir que certaines femelles ne saignent presque pas et qu'il  y a alors un risque d'erreur d'appréciation.

 

Préventions des chaleurs :

  • Chez la chienne, intervenir pendant l'anoestrus, soit dans les trois à cinq mois suivant le dernier œstrus ou 20 à 30 jours après le sevrage des chiots. Lors d'inhibitions successives de l'œstrus par injection de SUPPRESTRAL, laisser un délai de 4 à 5 mois entre les interventions. Cependant, le clinicien restera juge de l'opportunité de toute modification de cet intervalle moyen ainsi que de la dose à employer, en se souvenant que l'intervalle de temps compris entre 2 œstrus successifs peut être différent d'une chienne à l'autre, que les femelles de petite taille ont souvent une période inter-œstrale plus courte que celle des femelles de grande taille et, qu'en outre, cette période augmente progressivement chez les jeunes femelles jusqu'à ce qu'elles atteignent l'âge adulte, alors que les femelles âgées présentent des cycles irréguliers avec souvent un allongement de la phase inter œstrale.
  • Chez la chatte, intervenir en phase de calme sexuel en se souvenant que la durée et la fréquence des chaleurs dans cette espèce sont variables en fonction de l'état des animaux, des conditions d'élevage, de la race et de la saison. En outre, chez la chatte, la lactation n'empêche pas l'apparition des chaleurs. Lors d'inhibitions successives de l'œstrus chez la chatte, l'intervalle moyen à respecter entre 2 interventions est de l'ordre de 4 à 5 mois. Rythme des injections et posologie devront cependant être adaptés à chaque femelle.

- Interruption des chaleurs :

Chez la chienne, intervenir de préférence dans les trois premiers jours du pro œstrus, les résultats obtenus par une injection plus tardive cessant d'être régulièrement satisfaisants, certaines femelles pouvant alors parvenir à l'œstrus proprement dit, ainsi qu'être saillies et fécondées.

Chez la chatte, n'intervenir que si la femelle n'a été ni saillie, ni au contact d'un mâle.

 

Précautions :

-Femelles de race Greyhound : SUPPRESTRAL peut provoquer un gonflement des mamelles et une galactorrhée. Leur administrer le produit avec précaution, de même qu'aux autres sujets chez lesquels des faits semblables se produiraient.

- Femelles pré pubères: le traitement peut leur être appliqué, mais il est souhaitable de laisser passer une première période de chaleurs pour essayer de détecter une éventuelle affection de I' appareil reproducteur.

-Le complexe pyomètre-hyperplasie endométriale peut voir son importance accrue il est recommandé d'aviser de cette éventualité les propriétaires des femelles destinées à la reproduction.

- Maternités ultérieures: selon certains auteurs, il conviendrait d'émettre quelques réserves sur l'emploi de l'acétate de rhédroxyprogestérone lorsque des maternités ultérieures sont projetées.

Cependant, d'autres auteurs rapportent avoir fait couvrir avec succès des chiennes dès le premier rut après l'interruption du traitement.

-Pyomètre : selon certaines études, le pourcentage de pyomètres observés sur des femelles antérieurement traitées avec SUPPRESTRAL ne serait guère supérieur à l'incidence naturelle de l'affection si le protocole d'intervention est bien respecté (posologie, moment d'intervention et examen clinique préalable).

- Autres modifications : une légère augmentation de l'appétit et du poids peut être observée.

L'hémogramme et le fonctionnement hépatorénal, la composition chimique du sang et des urines ne sont généralement pas modifiés.

- Répétition des injections : la prévention des chaleurs peut être répétée périodiquement, sans interruption entre chaque intervention et selon le rythme choisi par le clinicien. Toutefois, certains auteurs estiment nécessaire de laisser réapparaître les chaleurs toutes les deux à trois interventions, afin de pouvoir contrôler l'état génital de la femelle .

 

Contre-indications:

Avant toute injection de progestatif, il est nécessaire de réaliser un examen clinique du patient.

Les contre-indications à respecter sont les suivants :

- Gestation.

- Intervention trop tardive.

Pratiquée trop tardivement après le début du pro œstrus, l'intervention peut se révéler inefficace et présenter des risques accrus de complications.

Pratiquée dans les jours qui suivent ou qui précèdent une saillie fécondante, l'injection de SUPPRESTRAL amène régulièrement des difficultés à la mise-bas (atonie utérine, mortinatalité).

- Affections de l'appareil reproducteur:

Dysfonctionnement génital, infections génitales et autres perturbations de l'appareil reproducteur.

- diabète.

Catégorie

Liste I

A ne délivrer que sur ordonnance.

 

Présentation:

Flacon de 5 ml.

A.M.M.685 011.3 03-83 V du 21 /03/83.

 

Usage vétérinaire

 

IPV

chiens, chats.

avant toute injection de progestatif, il est nécessaire de réaliser un examen clinique du patient. les contre-indications à respecter sont les suivants : - gestation. - intervention trop tardive. pratiquée trop tardivement après le début du pro œstrus, l'intervention peut se révéler inefficace et présenter des risques accrus de complications. pratiquée dans les jours qui suivent ou qui précèdent une saillie fécondante, l'injection de supprestral amène régulièrement des difficultés à la mise-bas (atonie utérine, mortinatalité). - affections de l'appareil reproducteur: dysfonctionnement génital, infections génitales et autres perturbations de l'appareil reproducteur. - diabète.

prévention et interruption des chaleurs chez les chiennes et chattes.

  • voie s.c. ou i.m.
  • chienne :
  • une injection de 0,5 à 2 ml suivant la taille.
  • pour les races naines et les races géantes, il convient d'adapter la posologie en évitant le surdosage, afin de limiter les conséquences indésirables d'une imprégnation progestéronique (h.s. bryan recommande de ne pas dépasser la dose moyenne de 50 mg par 10 kg).
  • chatte :
  • une injection de 0,5 à 1 ml selon le poids de l'animal.
  • noter que les femelles de race siamoise exigent une posologie plus personnalisée, car leur activité génitale est parfois presque continue. lors d'intervention par voie sous-cutanée, réaliser l'injection en un point du corps non exposé au regard (intérieur du pli du flanc ou de la cuisse) en raison d'une possible réaction (dépigmentation temporaire de la peau et des phanères).
  • bien agiter le flacon avant emploi afin de remettre tout le principe actif en suspension homogène. moment de l'intervention pour l'inhibition des chaleurs:
  • la prévention des chaleurs est l'indication de choix, l'apparition du rut étant reportée de plusieurs mois. cependant, quelques sujets peuvent présenter des chaleurs avant la date prévue de leur réapparition, et il convient que les maîtres soient avertis d'avoir à surveiller les prémices d'un œstrus éventuel pour permettre une interruption précoce des chaleurs si elle est jugée nécessaire. - l'interruption des chaleurs déjà commencées est une indication plus nuancée : il est important de savoir avec précision depuis combien de temps la femelle est en chaleur, c'est-à-dire combien de temps s'est écoulé entre le début du pro-œstrus et le moment où l'animal est présenté pour l'intervention. changement d'humeur, attirance des mâles, gonflement de la vulve et apparition du saignement sont les signes habituellement retenus comme situant le début du pro-œstrus chez la chienne. cependant, il convient des se souvenir que certaines femelles ne saignent presque pas et qu'il y a alors un risque d'erreur d'appréciatio

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Docteur Vétérinaire, Professeur Enseig. Sup.